Onvit, on parle, on a le ciel et les nuages: 12: Sur la tête ; on se plaît aux livres des vieux sages ; 12: On lit Virgile et Dante ; on va joyeusement: 12: En voiture publique à quelque endroit charmant, 12: 5: En riant aux éclats de l'auberge et du gîte ; 12: Le regard d'une femme en passant vous agite ; 12: On aime, on est aimé

Kevin SCHWINNINGER 2 [Geben Sie Text ein] Commentaire Composé On vit, on parle... » est un poème extrait du recueil les Contemplations » 1856 , composé par Victor Hugo, auteur du XIXe siècle 1802 – 1885. Ce livre est consacré à Léopoldine, fille de Hugo morte à l’âge de seulement dix-neuf ans. Ce fut dix ans plus tard, au retour du cimetière de Saint- Mandé, où venait d’être inhumée Claire Pradier, la jeune fille de Juliette Drouet, à savoir l’aimée de Victor Hugo, que le poète trouve enfin les mots pour exprimer sa douleur. Cette œuvre qui paraît comme une biographie générale de l’homme, et donc aussi des lecteurs du poème, a comme thème la vie et la mort. Lors de sa lecture on a l’impression que l’auteur tire des conclusions, voire des leçons, de la mort des deux jeunes filles. Par conséquence il va de soi que le poème prend sa place dans un recueil portant le titre les Contemplations ». Se posent dès lors les questions suivantes comment le poète parvient- il à nous donner la vision d’une vie que chacun d’entres -nous connaît si b ien et quelle forme prend ce poème ? Quels aspects de la vie et de la mort nous sont présentés à travers cette œuvre ? Pourquoi le regard critique et rétrospectif sont- ils parmi les facteurs les plus importants orientant l’analyse de ce poème ? Le poème est un monologue intérieur, caractérisé par l’omniprésence de l’auteur, qui se fonde dans un récit d’actions. Le déroulement, voire l’ordre de la vie, tombent à l’oeil de chaque lecteur. Dans cette œuvre le poète reprend toutes les étapes de sa vie. Au ver s 2- 3 il cite la formation en parlant des livres des vieux sages » et de Virgile et Dante 1 ». Plus loin, dans les vers 4 -5 il évoque la vie sociale lorsqu’il parle de voiture publique » et de l’auberge et du gîte ». Par la suite Hugo aborde les amo urs dans les vers 6-8, les caractéristiques d’une vie en famille dans les vers 9 -12 et pour terminer les différentes formes de l’engagement dans une vie sociale. Une remarque intéressante à faire sur cette progression linéaire dans le poème est celle, que les épisodes deviennent de plus en plus longs - la formation  2 vers - la vie sociale  2 vers - les amours  2 vers - la famille  3 vers 1 Virgile et Dante Ont tout les deux écrit sur la descente vers l’enfer.. »
NotreDame dans l'oeuvre de Victor Hugo. Si Victor Hugo n'avait pas écrit les Misérables (1862), Notre-Dame de Paris serait demeurée son plus beau roman.. Chose curieuse, il ne commença ce roman qu'à contre-coeur; et, chose merveilleuse, il réussit à le faire en quatre mois et demi (1 er septembre 1830-14 janvier 1831). - Sans doute, il en avait conçu l'idée dès 1828;
InayaPlume d'Eau Nombre de messages 50031Age 61Date d'inscription 05/11/2010Sujet Victor HUGO 1802-1885 On vit, on parle, on a le ciel et les nuages Sam 17 Sep - 010 On vit, on parle, on a le ciel et les nuages Sur la tête; on se plaît aux livres des vieux sages; On lit Virgile et Dante; on va joyeusement En voiture publique à quelque endroit charmant, En riant aux éclats de l'auberge et du gîte; Le regard d'une femme en passant vous agite; On aime, on est aimé, bonheur qui manque aux rois! On écoute le chant des oiseaux dans les bois Le matin, on s'éveille, et toute une famille Vous embrasse, une mère, une soeur, une fille! On déjeune en lisant son journal. Tout le jour On mêle à sa pensée espoir, travail, amour; La vie arrive avec ses passions troublées; On jette sa parole aux sombres assemblées; Devant le but qu'on veut et le sort qui vous prend, On se sent faible et fort, on est petit et grand; On est flot dans la foule, âme dans la tempête; Tout vient et passe; on est en deuil, on est en fête; On arrive, on recule, on lutte avec effort... Puis, le vaste et profond silence de la mort! 11 juillet 1846, en revenant du cimetière.
LaBataille de Waterloo par Victor Hugo Les Misérables, IIe partie, livre 1, ch. 9. Ils étaient trois mille cinq cents. Ils faisaient un front d'un quart de lieue. C'étaient des hommes géants sur des chevaux colosses. Ils étaient vingt-six escadrons ; et ils avaient derrière eux, pour les appuyer, la division de Lefebvre-Desnouettes, les cent six gendarmes d'élite, les chasseurs de la Pauca meæ est le livre IV du recueil de poèmes Les Contemplations[1],[2], écrit par Victor Hugo, publié en 1856. Pauca meæ signifie Quelques vers pour ma fille » ou Le peu de ce qu'il reste de ma fille », c'est un livre entièrement dédié à la mort tragique de Léopoldine. Ce livre est surtout connu pour contenir le poème le plus célèbre de la poésie française Demain dès l'aube. Pure innocence ! Vertu sainte ! ; 15 février 1843 - 4 septembre 1843 ; Trois ans après ; Oh ! je fus comme fou... ; Elle avait pris ce pli... ; Quand nous habitions tous ensemble ; Elle était pâle, et pourtant rose ; À qui donc sommes-nous ?... ; Ô souvenirs ! printemps ! aurore ! ; Pendant que le marin... ; On vit, on parle... ; À quoi songeaient les deux cavaliers dans la forêt ; Veni, vidi, vixi ; Demain, dès l'aube... ; À Villequier ; Mors ; Charles Vacquerie. Analyse du titre Le titre de cette section est écrit en latin. Il fait référence à Virgile, dans ses Bucoliques, qui commence sa dixième et dernière églogue par "Pauca meo Gallo [...] carmina sunt dicenda", ce qui signifie "Que mon cher Gallus ait de moi peu de vers". Le poète latin s'adresse à la nymphe Aréthuse et lui demande son soutien pour chanter les amours de Gallus. L'extrait cité est donc la demande directe faite à cette nymphe. Il faut comprendre l'expression "peu de vers" comme étant une part d'humilité de la part du poète, demandant au moins ce petit honneur pour Gallus, son ami poète. Cette dixième églogue est, en réalité, un véritable hommage à cet ami poète qui, lui, saurait reconnaitre le talent de Virgile. On peut ainsi dire que Virgile fait son propre éloge à cet instant.[3] Victor Hugo choisit donc [Vous êtes dans la tête d'Hugo ??? Pourquoi ne pas traduire, simplement, par "Un petit peu pour/à la mienne" au lieu de se référer à Virgile. De quelles sources tirez-vous les "sous-entendus" ? ] de réduire l'expression à "Pauca meæ", dans laquelle il faut sous-entendre "carmina" vers et "filiae" fille. On peut donc traduire ce titre ainsi "Peu de vers pour ma chère fille". Composition Pauca meæ est composé de dix-sept poèmes. Il est à noter que certaines éditions comptent au nombre de dix-huit les poèmes de cette section, dissociant "15 février 1843" et "4 septembre 1843", ce dernier poème étant composé d'une ligne de pointillés qui représente l'impossibilité du poète, face à sa douleur, à écrire ce jour, date même du décès de sa fille Léopoldine [4]. Dans le dernier poème, Victor Hugo rend hommage au dévouement de son gendre, Charles Vacquerie, qui, ne parvenant pas à sauver sa femme de la noyade, décide de mourir avec elle[5]. Poème I Pure innocence ! Vertu sainte ! » Poème II 15 février 1843 - 4 septembre 1843 » Poème III Trois ans après » Poème IV Oh ! je fus comme fou... » Poème V Elle avait pris ce pli... » Poème VI Quand nous habitions tous ensemble... » Poème VII Elle était pâle, et pourtant rose » Poème VIII À qui donc sommes-nous ?... » Poème IX Ô souvenirs ! printemps ! aurore ! » Poème X Pendant que le marin... » Poème XI On vit, on parle... » Poème XII À quoi songeaient les deux cavaliers dans la forêt » Poème XIII Veni, vidi, vixi » Poème XIV Demain, dès l'aube... » Poème XV À Villequier » Poème XVI Mors » Poème XVII Charles Vacquerie » Pauca meae est une construction nouvelle qui commence par l’évocation de souvenirs delicieux de l’enfance de Léopoldine, se poursuit par l’abattement devant la mort et se termine par une consolation religieuse avec les figures positives qui achèvent les derniers poèmes de la partie Mors Tout était à ses pieds deuil, épouvante et nuit. / Derrière elle, le front baigné de douces flammes, / Un ange souriant portait la gerbe d’âmes » et Charles Vacquerie Dans l’éternel baiser de deux âmes que Dieu / Tout à coup change en deux étoiles ! ». Thèmes prédominants Le deuil Le rôle du poète et de la poésie L'éloge par la glorification L'amour paternel La mort la folie La nostalgie la fatalité Notes et références ↑ ↑ ↑ Echos et résonances au début de la dixième bucolique », sur 1974 consulté le 7 mai 2019 ↑ Victor Hugo, Pauca meæ, Paris, Hatier, coll. Classiques & cie lycée », 2016 ISBN 978-2-218-99749-5, page 8 ↑ Les Contemplations/Charles Vacquerie - Wikisource », sur consulté le 25 novembre 2020 Voir aussi Romantisme, mouvement littéraire auquel appartient Victor Hugo. Victor Hugo, œuvre et vie de l'auteur. "Secrets d'histoire Victor Hugo, la face cachée du grand homme", une émission présentée par Stéphane Bern, accessible en intégralité sur YouTube. Liens externes Pauca meæ aux éditions Flammarion Dernière mise à jour du contenu le 25/07/2022.

23avr. 2015 - Ce détail d'un dessin de Victor Hugo, flou, représente un homme au tronc minuscule et aux membres démesurés, possédant trois paires d'yeux, dont deux sur la tête et une, verticale, dans le corps - Lié au poème "L'enfant, voyant l'aïeule" du recueil "Les Contemplations" ("Les Luttes et les Rêves") de ce même Victor Hugo.

Ô cadavres, parlez ! quels sont vos assassins Quelles mains ont plongé ces stylets dans vos seins ? Toi d'abord, que je vois dans cette ombre apparaître, Ton nom ? — Religion. — Ton meurtrier ? — Le prêtre. — Vous, vos noms ? — Probité, pudeur, raison, vertu. — Et qui vous égorgea ? — L'église. — Toi, qu'es-tu ? — Je suis la foi publique. — Et qui t'a poignardée ? — Le serment. — Toi, qui dors de ton sang inondée ? — Mon nom était justice. — Et quel est ton bourreau ? — Le juge. — Et toi, géant, sans glaive en ton fourreau ? Et dont la boue éteint l'auréole enflammée ? — Je m'appelle Austerlitz. — Qui t'a tué ? — L'armée. Jersey, le 30 janvier 1852. Victor Hugo
Dansle livre II des Contemplations, Victor Hugo s’attache à retisser un lien avec la nature pour retrouver un lyrisme qui s’était étiolé au XVIIIème siècle. (Voir ma fiche de lecture des livres I à IV des Contemplations pour le bac de français). Le poème « Crépuscule » est composé de 7 quatrains écrits en alexandrins.
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