Lesprix des lĂ©gumes prĂ©citĂ©s sont repartis Ă  la hausse, comparativement Ă  ceux pratiquĂ©s, il y a encore quelques jours. Pour ce qui est des prix des fruits, c'est le mĂȘme constat. Le prix des oranges a atteint, hier, les 200 dinars, alors qu'elles Ă©taient proposĂ©es Ă  120 et 140 dinars, il y a tout juste quelques jours. La viande

L’espoir de voir les prix des lĂ©gumes et fruits se stabiliser dans les marchĂ©s n’est pas pour bientĂŽt. Si la marchandise existe en quantitĂ© ou mĂȘme en qualitĂ©, quoique parfois moyenne, les prix actuels donnent encore des sueurs froides au client. Un passage en revue des prix pratiquĂ©s dans les supermarchĂ©s, puis ceux homologuĂ©s et 
 L’article Fruits, lĂ©gumes, produits de consommation Des prix qui donnent le tournis est apparu en premier sur La Presse de Tunisie. L’espoir de voir les prix des lĂ©gumes et fruits se stabiliser dans les marchĂ©s n’est pas pour bientĂŽt. Si la marchandise existe en quantitĂ© ou mĂȘme en qualitĂ©, quoique parfois moyenne, les prix actuels donnent encore des sueurs froides au client. Un passage en revue des prix pratiquĂ©s dans les supermarchĂ©s, puis ceux homologuĂ©s et conseillĂ©s, par l’application phare Code online du ministĂšre du Commerce, a Ă©tĂ© rendu nĂ©cessaire, en plein milieu de la saison estivale qui suscite traditionnellement de nombreuses dĂ©penses pour les mĂ©nages tunisiens. On constate que les prix des lĂ©gumes et fruits de saison sont relativement Ă©levĂ©s, ces derniers jours. Encore une fois, malgrĂ© l’offre d’une grande variĂ©tĂ© d’aliments verts et un bon achalandage dans les rayons des supermarchĂ©s, les prix sont tout juste acceptables» aux dires de la clientĂšle, qui continue de faire convenablement ses emplettes, malgrĂ© la disette
 Faut bien remplir son assiette», remarquera un client, malgrĂ© la moue relative Ă  certains prix incommodants. Hormis les lĂ©gumes
 Au rayon des lĂ©gumes, il y a le piment meski» Ă  1,950 D/kilo, tandis que son cousin, le doux», est commercialisĂ© au prix salĂ© de 3,430 D/kilo. La tomate allongĂ©e se vend Ă  1,150 D/kilo, l’oignon blanc Ă  1,370 D/kilo, les courgettes Ă  1,880 D/kilo. Les poireaux sont Ă  2,890 D. Les carottes sont plus chĂšres qu’à l’accoutumĂ©e, Ă  2,060 D/kilo. La pomme de terre, qui ne descend plus sous la barre du dinar symbolique, s’écoule Ă  1,490 D/kilo. Le kilogramme d’aubergines est Ă  890 millimes. Les gombos se vendent Ă  24,200 D le kilo. Le bouquet de persil est commercialisĂ© Ă  580 millimes, la menthe Ă  780 millimes, tandis que la coriandre utilisĂ©e pour les mets asiatiques est Ă  1,050 D, la salade romaine est Ă  1,490 D, la laitue Ă  1,370 D, le cĂ©leri Ă  385 et la blette Ă  580 millimes. ArrivĂ© devant le cageot de citron vert Ă  8 dinars le kilogramme, le client fait mieux de passer son chemin
 L’aĂŻl sec blanc se vend Ă  8, 780 D/ au niveau des fruits. A la fĂȘte des couleurs de la banane importĂ©e d’Equateur Ă  6,980 D le kilo, en passant par une demi-pastĂšque locale Ă  5 D, vendue en tranches et au kilo Ă  780 millimes, par contre, ce n’est pas la fĂȘte des prix. La vente en tranche ou Ă  la libre pesĂ©e est une pratique moins rĂ©pandue dans les marchĂ©s et souks voisins. D’ailleurs, c’est pour ça que le rayon fruits et lĂ©gumes» du supermarchĂ© a la cote. Quant au kilo de melon jaune, il est Ă  990 millimes ou son variant Lobnani » Ă  1,790 D/kilo,. Toujours du cĂŽtĂ© des fruits, c’est carrĂ©ment la dĂ©bandade pour le chef de famille avec des pommes Ă  4,980 D/kilo, la pĂȘche jaune Ă  4,350 D/kilo, l’abricot Ă  3,700 D/kilo, la prune rouge Ă  3,650 D ou les kiwis Ă  850 millimes la 
 ps » sur l’écriteau pour indiquer le prix par piĂšce. Pour cette fois, on se passera de prĂ©ciser les prix des viandes et poissons, surtout quand on sait que rien que les sardines toutes menues s’écoulent Ă  prĂšs de 5 D le kilo
 Au rĂ©vĂ©lateur du vĂ©rificateur de prix En se basant sur les prix publiĂ©s par le ministĂšre du Commerce Ă  travers l’application Codeonline, on a pu relever des diffĂ©rences entre ces derniers et ceux affichĂ©s dans les marchĂ©s. Plusieurs dĂ©passements sont relevĂ©s. Au niveau des infractions, on peut citer les courgettes estimĂ©es au prix moyen de 900 millimes le kilo, le poivron doux Ă  1,6 D et celui plus piquant Ă  1,3 D le kilo. Toujours d’aprĂšs l’application mobile, les carottes doivent osciller autour de 1 D le kilo. Au niveau des fruits, il y a la pastĂšque qui devrait s’écouler Ă  500 millimes le kilo et les pommes Ă  3,5 D. Donc, les supermarchĂ©s se permettent encore des Ă©carts de prix sur certains aliments pour marger, ce qui est fort regrettable. L’article Fruits, lĂ©gumes, produits de consommation Des prix qui donnent le tournis est apparu en premier sur La Presse de Tunisie. SCÉNARIOSDE COMMERCE INTERNATIONAL ET DE PRIX 6.1 Oignon 6.2 Pomme de terre 6.3 Tomate 6.4 Ail 6.5 Chou-fleur 6.6 Des haricots 6.7 Aubergine 6.8 Citron 6.9 Pommes 6.10 banane 6.11 Raisins 6.12 fraise 6.13 PastĂšque 6.14 Rendez-vous 6.15 Olives 7. ANALYSE RÉGIONALE 7.1 Analyse PILON 7.2 Analyse de la chaĂźne de valeur 7.3 Politiques
AlgĂ©rie – Suite Ă  la fluctuation des prix qu’ont connu les fruits et lĂ©gumes en dĂ©but de la saison estivale en AlgĂ©rie, le marchĂ© enregistre aujourd’hui une baisse remarquable. Dzair Daily vous dĂ©voile les prix dans ce qui suit, dans son Ă©dition du 8 aoĂ»t 2022. En effet, le citoyen algĂ©rien a fait face Ă  une hausse des prix des fruits et lĂ©gumes avant et aprĂšs la pĂ©riode de l’AĂŻd El Adha. Cette pĂ©riode enregistre chaque annĂ©e une flambĂ©e des prix des produits de large consommation. Cependant, les marchĂ©s en AlgĂ©rie ont connu, ces jours-ci, une chute considĂ©rable quant au prix des fruits et lĂ©gumes. Il s’agit lĂ  de ce que rapporte la chaĂźne tĂ©lĂ©visĂ©e Echorouk. Effectivement, vous avez probablement remarquĂ© une tendance baissiĂšre chez la plupart des vendeurs de fruits et lĂ©gumes. Le consommateur va enfin pouvoir faire ses courses paisiblement. Cela s’ajoute Ă©galement Ă  la baisse du pouvoir d’achat, rapporte le mĂȘme mĂ©dia. Par ailleurs, le marchĂ© de lĂ©gumes de la capitale a vu une stabilitĂ© concernant les prix de ces aliments. Selon le tĂ©moignage d’un citoyen interrogĂ© par ledit mĂ©dia, certains commerçants proposent des prix raisonnables et d’autres, en revanche, se maintiennent aux prix Ă©levĂ©s. Les prix des fruits et lĂ©gumes pour ce mois d’aoĂ»t Une virĂ©e effectuĂ©e par Echorouk sur le marchĂ© d’Alger nous tĂ©moigne de la baisse des prix actuelle. Les deux partis sont gagnants, aussi bien le commerçant que le client qui ont exprimĂ© leur satisfaction aux micros de la chaĂźne tĂ©lĂ©visĂ©e. Notamment avec les prix qui ne cessent d’augmenter depuis le dĂ©but de cette annĂ©e 2022. En ce qui concerne les prix des lĂ©gumes, un des vendeurs du marchĂ© s’est exprimĂ© Ă  ce sujet. Pour le poivron et le piment, ces aliments sont actuellement Ă  70 DA, le navet est Ă  60 DA. Le prix des haricots verts est affichĂ© Ă  120 DA. Ainsi que l’oignon qui bat le record avec le prix de 35 DA. Pour ce qui est de la pomme de terre, le lĂ©gume est Ă  seulement 60 DA. La courgette, de son cĂŽtĂ©; est cĂ©dĂ©e Ă  50 DA. La carotte a vu son prix baissĂ© de 150 DA Ă  60 DA. Du cĂŽtĂ© des fruits, les raisins sont Ă  100 DA ainsi que la nectarine qui est vendue au prix de 70 DA, apprend-on de la mĂȘme source.

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Les prix des fruits et lĂ©gumes connaitront une baisse Ă  partir de fin novembre en cours, a dĂ©clarĂ© Ă  l’APS, le directeur gĂ©nĂ©ral de la rĂ©gulation et de l’organisation des activitĂ©s au ministĂšre du Commerce, SaĂŻd BekaĂŻ. Les prix connaitront une baisse sensible aprĂšs la rĂ©colte de la nouvelle production des serres, a indiquĂ© M. BekaĂŻ, prĂ©cisant que le secteur Ɠuvre actuellement sur trois fronts pour rééquilibrer les marchĂ©s, contribuer Ă  la rationalisation des prix et Ă©viter la spĂ©culation marchĂ©s de gros, marchĂ©s de dĂ©tail et systĂšme de rĂ©gulation. Dans ce cadre, le ministre du Commerce, SaĂŻd Djellab a prĂ©sidĂ©, mardi dernier, une rĂ©union des directeurs du secteur et des directeurs rĂ©gionaux oĂč il a donnĂ© des orientations allant dans le sens de l’interdiction de la spĂ©culation sur les prix. Entre autres orientations, le ministre a mis en avant la nĂ©cessitĂ© de dĂ©signer des Ă©quipes de contrĂŽle qui doivent s’assurer que les commerçants affichent les vrais prix et suivre la traçabilitĂ© des produits agricoles, des marchĂ©s de gros aux marchĂ©s de dĂ©tail pour mettre un terme aux intermĂ©diaires. En parallĂšle, M. Djellab a chargĂ© ses services de dĂ©terminer les causes qui sont Ă  l’origine de la hausse des prix, abstraction faite des explications liĂ©es Ă  cette pĂ©riode de l’annĂ©e appelĂ©e pĂ©riode de soudure », Ă©tant en dehors de la phases plateau de production. Les fruits et lĂ©gumes disponibles actuellement sur le marchĂ© sont vendus en dehors de la saison de production. Il s’agit des stocks de la prĂ©cĂ©dente saison et des productions des serres, a affirmĂ© le mĂȘme responsable. Les spĂ©culateurs et intermĂ©diaires dans certaines wilayas ont saisi la situation, ce qui a perturbĂ© les opĂ©rations de distribution entre les marchĂ©s de gros et les marchĂ©s de dĂ©tail, a-t-il indiquĂ©. Cette situation s’explique, entre autres, par l’augmentation de la demande sur les fruits et lĂ©gumes et autres produits durant la rentrĂ©e sociale par les restaurants, les cantines scolaires, les restaurants universitaires et les centres de formation », a ajoutĂ© M. BekaĂŻ. Une cartographie nationale des marchĂ©s de gros et marchĂ©s de dĂ©tail » est actuellement en cours d’élaboration pour garantir une meilleure organisation du marchĂ© et une meilleure maitrise des prix des produits agricoles, a-t-il indiquĂ©, prĂ©cisant que ces marchĂ©s seront dotĂ©s de cahiers de charge pour s’assurer de l’application de la loi. Dans ce contexte, les efforts constants de la SociĂ©tĂ© de rĂ©alisation et gestion des marchĂ©s de gros Magros sont revalorisĂ©s, cette derniĂšre ayant rĂ©alisĂ© des programmes positifs pour Ă©largir la prĂ©sence des marchĂ©s de gros rĂšglementaires Ă  travers le territoire national. Le secteur compte parachever la rĂ©alisation de 8 marchĂ©s de gros dans plusieurs wilayas. Celui rĂ©alisĂ© dans la wilaya de SĂ©tif sera inaugurĂ© le 18 novembre en cours, en attendant d’apporter les derniĂšres retouches pour le lancement du nouveau marchĂ© dans la wilaya de AĂŻn Defla qui jouera un rĂŽle trĂšs important dans la traçabilitĂ© des fruits et lĂ©gumes pour une meilleure maitrise des prix, a fait savoir M. BekaĂŻ. Ces marchĂ©s seront un espace de rassemblement des agriculteurs et des vendeurs, Ă  condition de disposer de la carte professionnelle et du registre de commerce. Les acteurs seront Ă©galement liĂ©s directement en toute transparence Ă  travers l’établissement des factures pour les commandes. L’exigence du registre de commerce lors des transactions entre vendeurs gros et dĂ©tail est Ă  mĂȘme de faciliter le contrĂŽle, d’identifier les contrevenants et de connaitre les failles, a estimĂ© M. BekaĂŻ. S’agissant de l’organisation en place au niveau des marchĂ©s de Hatatba et des Eucalyptus, le responsable a affirmĂ© qu’ils assuraient l’approvisionnement de la capitale en lĂ©gumes et fruits, relevant qu’une brigade a Ă©tĂ© mise en place pour assurer le contrĂŽle et le suivi de ces marchĂ©s. Concernant le marchĂ© de Khemis El Khechna, M. Bekai a fait Ă©tat de dissolution de l’entreprise communale qui gĂšre cette structure, annonçant que la gestion de cette infrastructure proposĂ©e dans le cadre d’un appel d’offres. Par rapport au mois de septembre, les prix de la pomme de terre ont connait une hausse de plus de 80%, en raison de la pĂ©riode de soudure » dans les diffĂ©rents wilayas Ă  l’exception de Mostaganem qui entamera la rĂ©colte dans les prochains jours, a-t-il expliquĂ©. Dans ce contexte, M. Bekai a mis en avant que ce marchĂ© Ă©tait rĂ©gulĂ© grĂące au systĂšme de rĂ©gulation des produits agricoles Syrpalac. A noter que le systĂšme Syrpalac, adoptĂ© depuis 2008, consiste en le stockage des produits durant la saison de rĂ©colte dans l’objectif de protĂ©ger les superficies cultivĂ©es, le produit national et l’agriculteur en cas de surproduction. Dans ce cadre, tonnes de pomme de terre ayant Ă©tĂ© stockĂ©s lors de la prĂ©cĂ©dente saison seront acheminĂ©s aux marchĂ©s par les services des ministĂšres du Commerce et de l’Agriculture conformĂ©ment Ă  un programme permettant Ă  chaque agriculteur d’accĂ©der au marchĂ© au moment opportun. Des cellules mise en place Ă  cet effet en sus des brigades des contrĂŽles, assureront le suivi de cette opĂ©ration au niveau de chaque wilaya. Pour ce qui est des marchĂ©s couverts de vente en dĂ©tail inexploitĂ©s dans plusieurs wilayas, le mĂȘme responsable a affirmĂ© que le secteur s’employait Ă  recenser ces structures abandonnĂ©es depuis des annĂ©es afin de les rĂ©amĂ©nager », soulignant l’ouverture d’une enquĂȘte pour dĂ©terminer les causes ayant menĂ©es Ă  cette situation. Selon M. BekaĂŻ, l’ouverture de ces marchĂ©s servira d’un trait d’union entre le programme de rĂ©alisation des marchĂ©s de gros et la rĂ©habilitation des marchĂ©s de dĂ©tail, ce qui permettra de maitriser le flux de lĂ©gumes et de fruits, ainsi que leurs prix. Les services du ministĂšre sont destinataires des rapports quotidiens sur les prix de tous les produits du marchĂ© et les raisons de leur hausse dans certaines pĂ©riodes de l’annĂ©e, et s’emploient Ă  lutter contre la spĂ©culation, a poursuivi le mĂȘme responsable. Le Conseil national interprofessionnel de la filiĂšre avicole CNIFA contribuera Ă  rĂ©guler les prix S’agissant de la hausse importante des prix des viandes blanches, notamment le poulet, le responsable a fait savoir que le ministĂšre avait lancĂ© des enquĂȘtes pour identifier les raisons Ă  l’origine de cette hausse des prix qui ont augmentĂ© de 14% par rapport Ă  la mĂȘme pĂ©riode de l’annĂ©e prĂ©cĂ©dente. Ces enquĂȘtes ont fait ressortir, ajoute le directeur gĂ©nĂ©ral, que la hausse des prix de poulet Ă©tait due au nombre d’intermĂ©diaires et Ă  la mauvaise organisation du mĂ©tier en gĂ©nĂ©ral, mettant en exergue que cette situation connaĂźtra une amĂ©lioration palpable aprĂšs la constitution du CNIFA. Par ailleurs, l’enquĂȘte a dĂ©voilĂ© plusieurs autres causes derriĂšre la fluctuation des prix de la volaille, Ă  l’instar du recours aux anciens modes d’élevage qui sont Ă  l’origine de la perte de la volaille durant les pĂ©riodes qui connaissent une baisse de la tempĂ©rature. Les rĂ©sultats de ladite enquĂȘte ont Ă©galement pointĂ© du doigt la hausse de prix des fourrages, notamment ceux de la volaille, et le faible nombre de wilayas oĂč cette activitĂ© est dĂ©veloppĂ©e. La hausse de prix des viandes rouges et des poissons durant cette pĂ©riode de l’annĂ©e a engendrĂ© une forte demande sur les viandes blanches de la part des citoyens, ce qui a impactĂ© l’offre et la demande et, partant, les prix. Articles similaires
Envisite Ă  la Safex oĂč se tient l’évĂšnement, le Premier ministre a reconnu publiquement que les prix des fruits et lĂ©gumes demeurent Ă©levĂ©s en AlgĂ©rie. Mais il a soulevĂ© un paradoxe : en dĂ©pit d’une production « abondante », les fruits et lĂ©gumes ne sont pas Ă  la portĂ©e de tous les AlgĂ©riens.
De mĂ©moire des mĂ©nages Ă  Annaba, jamais une telle envolĂ©e des prix de ces produits de premiĂšre nĂ©cessitĂ© n'a Ă©tĂ© enregistrĂ©e. Le taux de l'augmentation se situe entre 3% et 5% pour les lĂ©gumes secs, mais aussi des pĂątes alimentaires, produits de base pour les familles algĂ©riennes, notamment celles aux faibles revenus. Ces produits, et tant d'autres, sont de plus en plus inaccessibles, voire hors de leur portĂ©e, surtout avec la continuelle dĂ©valuation du dinar, Ă  l'origine de la dĂ©gradation du pouvoir d'achat. Face Ă  un tel contexte social et Ă©conomique, les points de vente directe restent l'unique alternative pour faire face Ă  la hausse des prix des lĂ©gumes secs. Pour ce faire, la CoopĂ©rative des cĂ©rĂ©ales et lĂ©gumes secs Ccls d'Annaba est venue Ă  la rescousse des consommateurs, en plafonnant les prix des ces produits de premiĂšre nĂ©cessitĂ©, disponibles dans plusieurs points de vente. Une action visant, d'une part, Ă  casser les prix sur le marchĂ© parallĂšle et Ă  soutenir le pouvoir d'achat du citoyen d'autre part. Ainsi, Ă  travers toutes les unitĂ©s de la Ccls implantĂ©es sur le territoire de la wilaya d'Annaba et El Tarf, les prix des lĂ©gumes secs de production locale, ont Ă©tĂ© plafonnĂ©s Ă  100 DA/kg de lentilles et Ă  120 DA/kg de pois chiches. Selon une source relevant de la Ccls d'Annaba, la quantitĂ© de lĂ©gumes secs emmagasinĂ©e dans ses entrepĂŽts est de l'ordre de 90,1583 q de lentilles et 58,41032 q de pois chiches. Selon la mĂȘme source, des points de vente ont Ă©tĂ© ouverts au niveau d'El Hadjar, dans la wilaya d'Annaba et Ă  AĂŻn Assel et DrĂ©an dans la wilaya d'El Tarf. Rappelons que la dĂ©marche, Ă  savoir l'ouverture des points de vente de lĂ©gumes secs Ă  des prix raisonnables, fait suite Ă  l'annonce du ministĂšre de l'Agriculture et du DĂ©veloppement rural, par le biais de l'Office algĂ©rien interprofessionnel des cĂ©rĂ©ales Oaic, de l'ouverture, Ă  travers le territoire national, de points de vente de lĂ©gumes secs Ă  des prix raisonnables. Une dĂ©cision intervenant, rappelons-le, Ă  la suite de la hausse inexpliquĂ©e des prix des lĂ©gumes secs, lentilles et pois chiches. Wahida BAHRI Wahida BAHRI &59663; 0000 23-09-2021 &59667; Share &59683; Facebook &59658; Twitter &59678; Google+ &59673; LinkedIn &59716; Info en continu 2138 22/09/2021 L'AlgĂ©rie dĂ©cide de la fermeture immĂ©diate de son espace aĂ©rien au Maroc 2027 22/09/2021 ProcĂšs de Ghediri 7 ans de prison ferme requis 1831 22/09/2021 EHU Mustapha-Pacha bientĂŽt un nouveau service des urgences mĂ©dico-chirurgicales 1630 22/09/2021 Lamamra Ă  CNN Nous ne soutenons aucune partie en Libye Ă  l'exception du peuple libyen» 1430 22/09/2021 DĂ©cĂšs d'Abdelkader Bensalah drapeau en berne pendant trois jours 1236 22/09/2021 Le PrĂ©sident Tebboune prĂ©side une rĂ©union du Haut Conseil de SĂ©curitĂ© 1034 22/09/2021 DĂ©cĂšs de l'ex-chef d'Etat et ancien prĂ©sident du Conseil de la nation Abdelkader Bensalah 2324 21/09/2021 Des avancĂ©es encourageantes pour les cancers de la prostate et du sein 2225 21/09/2021 L'AlgĂ©rie enregistre 12 nouveaux records de tempĂ©rature en aoĂ»t dernier 2121 21/09/2021 Elections locales signature de la Charte d'Ă©thique par les partis politiques 2020 21/09/2021 Canada/Ă©lection Trudeau réélu mais toujours minoritaire 1929 21/09/2021 Birmanie Aung San Suu Ky jugĂ©e pour incitation aux troubles publics» 1828 21/09/2021 La crise des sous-marins menace la tenue d'un conseil UE/USA sur les technologies 1724 21/09/2021 JM Oran-2022 le gouvernement impulse une nouvelle dynamique aux chantiers des infrastructures sportives 1626 21/09/2021 Zones d'ombre plus de opĂ©rations engagĂ©es entre 2020 et 2021 1607 21/09/2021 Lamamra tient une sĂ©rie de rencontres avec ses homologues et de hauts responsables de l'Administration amĂ©ricaine 1527 21/09/2021 Foot / Qualif. Mondial-2022 4e journĂ©e Niger-AlgĂ©rie avancĂ© de trois heures et se jouera Ă  17h00 1507 21/09/2021 Premier ministre une nouvelle loi sur la transition Ă©nergĂ©tique en cours d'Ă©laboration 1433 21/09/2021 Sud/rentrĂ©e scolaire 2021/2022 de nouvelles structures pour amĂ©liorer les conditions de scolarisation 1325 21/09/2021 LPP une convention pour lever les contraintes de financement au profit des bĂ©nĂ©ficiaires &59719;Prev &59718;Next &59660;Voir les archives 1/4 Edition PDF Toutes les anciennes Ă©ditions en PDF SĂ©lectionnez Voir le PDF Galerie photos/vidĂ©os &59660; Lamamra tient une sĂ©rie de rĂ©unions Ă  New York VidĂ©o 1300 21-09-2021 Lamamra tient une sĂ©rie de rĂ©unions Ă  New York &59660; Belabed donne le coup d'envoi de l'annĂ©e scolaire VidĂ©o 1100 21-09-2021 Belabed donne le coup d'envoi de l'annĂ©e scolaire &59660;
Depuisquelques annĂ©es, le Ramadan est devenu en AlgĂ©rie synonyme d’accĂ©lĂ©ration de la consommation et de la gĂ©nĂ©ralisation de la spĂ©culation sur toutes les denrĂ©es alimentaires. Les prix des fruits et lĂ©gumes connaissent traditionnellement une hausse vertigineuse Ă  la veille ou aux premiers jours de Ramadan. Une tendance confirmĂ©e cette
Rien n’échappe Ă  la tendance de l’augmentation puisque les prix des pĂątes alimentaires, fruits et lĂ©gumes, fĂ©culents et lĂ©gumes secs ont tous connu une hausse depuis le dĂ©but de l’annĂ©e 2021. Une chertĂ© qui vient porter le coup de grĂące au pouvoir d’achat du citoyen dĂ©jĂ  affectĂ© par une annĂ©e de crise sanitaire. Par Thinhinene KhouchiLa majoritĂ© des prix des produits agricoles, les prix des lĂ©gumes secs, des pĂątes et autres ont enregistrĂ© une augmentation depuis le dĂ©but de l’annĂ©e en cours. En effet, depuis le dĂ©but de la crise sanitaire Ă  ce jour, les prix des diffĂ©rents produits alimentaires de large consommation n’ont pas cessĂ© d’augmenter au niveau national. Ceux des produits alimentaires ont, en moyenne, augmentĂ© de 5 %. Afin de constater cette hausse, un tour dans les diffĂ©rentes surfaces de denrĂ©es alimentaires de la capitale ainsi que les marchĂ©s s’est imposĂ©e. Au niveau du rayon pĂątes, on remarque rapidement une augmentation. Le kilo de couscous, Ă  titre d’exemple, est Ă  150 DA contre 110 DA il y a quelques semaines seulement. Le paquet de pĂątes de 500g est affichĂ© Ă  65 DA. Le prix d’un kilo de riz dĂ©passe les 120 DA. Du cĂŽtĂ© des lĂ©gumes secs, les lentilles sont Ă  180 DA, les haricots secs Ă  290 DA. Concernant les lĂ©gumes au niveau des marchĂ©s, la pomme de terre est proposĂ©e Ă  plus de 55 DA, les tomates Ă  80 DA, les oignons Ă  60 DA. Pour ce qui est des fruits, les oranges sont proposĂ©es Ă  160 DA, mandarines et bananes sont affichĂ©es entre 200 et 250 DA. À propos de la flambĂ©e des prix, le prĂ©sident de l’association El Aman» pour la protection les consommateurs, HacĂšne Menouar, a estimĂ© que le dĂ©sĂ©quilibre entre l’offre et la demande, le manque de marchĂ©s de proximitĂ© et l’absence de contrĂŽle sont les raisons de cette augmentation». On demande Ă  ce qu’il y ait un contrĂŽle, Ă  commencer par l’industriel avec un sous-dĂ©tail des prix, afin de comprendre si c’est une entente entre les opĂ©rateurs pour faire augmenter les prix ou si la hausse est justifiĂ©e», a ajoutĂ© le mĂȘme responsable, estimant que c’est la seule solution en vue de garantir le respect des prix. En revanche, un autre responsable de la mĂȘme organisation considĂšre que le facteur responsable de cette hausse des prix serait la dĂ©valuation du dinar», ce qui implique que tous les produits importĂ©s, notamment ceux de la matiĂšre premiĂšre, ont subi une augmentation. Augmentation prochaine de tous les produits contenant du sucre
Les jus, gĂąteaux, yaourts, boissons gazeuses et tous les produits qui nĂ©cessitent du sucre dans leur fabrication vont connaĂźtre une hausse engendrĂ©e par l’augmentation de 10 % du prix du sucre chez les fabricants depuis dimanche dernier. Cette dĂ©claration a Ă©tĂ© faite par le prĂ©sident de l’Association algĂ©rienne de protection et d’orientation du consommateur et son environnement Apoce, Mustapha Zebdi, qui a dĂ©noncĂ© ces augmentations anarchiques et injustifiĂ©es. De son cĂŽtĂ©, lors de son passage sur une chaĂźne privĂ©e, Hadj Tahar Boulenouar, prĂ©sident de l’Association nationale des commerçants et artisans, a assurĂ© que le sucre destinĂ© Ă  la consommation ne connaĂźtra pas d’augmentation car son prix est officiellement fixĂ© Ă  90 DA depuis 2011. Mais concernant les fabricants des produits qui contiennent du sucre qui ont dĂ» acheter cette matiĂšre premiĂšre au prix nouveau, effectivement, ils vont augmenter le prix de leurs produits», dira Boulenouar, prĂ©cisant que si le prix de la matiĂšre premiĂšre a augmentĂ©, il est normal que le prix de la matiĂšre produite augmente systĂ©matiquement». Il citera les produits qui vont donc connaĂźtre des augmentations, notamment les jus, gĂąteaux secs, boissons gazeuses, miel, confiture, bonbons, chocolat, les pĂątes qui contiennent du sucre aussi et autres produits contenant cette matiĂšre premiĂšre. En outre, Boulenouar a tenu Ă  souligner que les fabricants doivent informer les citoyens quant Ă  l’augmentation de leurs produits et en cas de baisse du prix du sucre ils doivent aussi baisser le prix de leurs produits. A cette occasion, critiquant l’absence totale de communication des producteurs algĂ©riens, Boulenouar a appelĂ© ces derniers Ă  informer les consommateurs en cas de hausse et de fixer la date et la marge d’augmentation de leurs produits dont la matiĂšre premiĂšre est le K.
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prix des fruits et légumes en algérie